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Ma poésie

J’écris de la poésie avant tout par nécessité intérieure. C’est un besoin vital, presque instinctif : si je n’écris pas, je m’étouffe un peu. Les mots deviennent alors ma respiration, le souffle qui me permet d’exister pleinement.

La poésie est pour moi un refuge et un exutoire. Elle me donne la possibilité de déposer ce qui m’habite : mes émotions les plus vives, mes fragilités, mes contradictions, mes éclats de joie comme mes silences douloureux. Elle accueille aussi ce que, bien souvent, nous taisons par pudeur : les blessures invisibles, les pensées interdites, les tabous qu’on contourne d’ordinaire. En écrivant, je n’ai plus besoin de détourner le regard. J’ose. C’est une démarche intime, parfois égoïste, car elle m’aide à me tenir debout.

elle est aussi profondément généreuse : chaque poème que je confie au papier devient un pont tendu vers l’autre. Dans ce que j’écris, il y a toujours l’espoir qu’un lecteur s’y reconnaisse, qu’il retrouve dans mes mots une part de sa propre histoire, une émotion qu’il croyait solitaire.

Un poème, pour moi, c’est comme une confidence chuchotée. Il naît dans le secret, mais dès qu’il est partagé, il devient un écho qui ne m’appartient plus vraiment. Il résonne différemment en chacun, il prend racine là où on ne l’attend pas.

La poésie n’est donc pas seulement une écriture : c’est un geste de re alliance. Un fil invisible qui relie mon monde intérieur à celui de l’autre, et qui rappelle parfois que nous ne sommes pas si seuls.

three red rose flowers on white open book
three red rose flowers on white open book

Travma Tsuki

Travma Tsuki est né de l’ombre, là où les mots hésitent, là où le silence pèse.
C’est un territoire que j’ai voulu ouvrir pour donner une voix à ce qui, d’ordinaire, reste caché : les non-dits, les tabous, les blessures profondes qui traversent nos vies.

Sous ce nom, j’écris sur ce que l’on n’ose pas toujours regarder en face :

  • le harcèlement, qui ronge en silence et laisse des marques invisibles,

  • le deuil, qui déchire et impose un chemin solitaire,

  • la mort, qui questionne et effraie, mais qui fait partie de notre humanité,

  • le suicide, cet endroit de désespoir ultime que trop souvent on tait,

  • toutes ces failles intimes que la société préfère recouvrir de silence.

Écrire ici, c’est rompre l’isolement de ces thèmes que l’on cache derrière des sourires forcés. C’est oser mettre des mots là où tout semble indicible.

La lune est la confidente de Travma Tsuki : elle éclaire faiblement, mais assez pour révéler les contours des blessures. Elle n’efface pas la douleur, mais elle lui offre un espace pour respirer, un écrin pour être vue.

Dans cet univers, je ne cherche pas à enjoliver la souffrance, ni à la dramatiser. Je cherche à la reconnaître. À dire : « tu existes, je te vois ». Car parfois, la simple reconnaissance est déjà un apaisement.

Mes textes sous Travma Tsuki parlent de solitude, de honte, de colère, de désespoir. Mais toujours, une lumière discrète traverse la nuit. Car derrière chaque ombre se cache une possibilité de résilience. Derrière chaque cri étouffé, il y a un souffle qui demande à se relever.

Travma Tsuki, c’est un espace de vérité nue, mais enveloppée de poésie. Un lieu où l’on accepte de se pencher sur l’abîme, sans s’y perdre. Un lieu où les tabous cessent d’être des murs, pour devenir des portes.

Noctem Oralis

NoctemOralis est l’espace des mots qui ne trouvent pas leur place le jour.
C’est la voix intérieure qui s’élève quand tout se tait, le murmure qui naît dans l’obscurité, quand la nuit efface les regards et libère les vérités cachées.

Dans cet univers, j’écris ce que l’on ne dit pas à voix haute :

  • les secrets trop lourds à porter,

  • les désirs tus, parce qu’ils dérangent ou effraient,

  • les peurs nocturnes, qui s’imposent quand les défenses tombent,

  • les confidences fragiles, qui cherchent une oreille, même silencieuse.

  • les peurs nocturnes, qui s’imposent quand les défenses tombent

La nuit, tout prend une dimension plus intense : les doutes deviennent immenses, les souvenirs plus aigus, les blessures plus profondes. La nuit est le théâtre de ces confidences.

NoctemOralis est une poésie des murmures. Elle donne forme à ces voix intérieures qui, le jour, se taisent par peur d’être jugées. Elle explore les zones troubles où le vrai et le faux se mélangent, où l’on s’égare parfois dans des récits qu’on a fabriqués soi-même.

J’y écris sur la solitude nocturne, sur ces instants où le sommeil se dérobe, où les pensées tournent sans fin. Mais aussi sur la beauté fragile de la nuit, sur ces instants où l’obscurité devient complice, où elle nous permet d’être pleinement nous-mêmes, sans masque.

NoctemOralis, c’est la parole de la nuit : parfois tendre, parfois brutale, mais toujours authentique. C’est un espace où l’on ose enfin dire ce qui nous hante, même si ce n’est qu’à soi-même. c’est la parole de l’ombre, mais une ombre douce, enveloppante. C’est un lieu de confidences intimes, où les mots se posent comme des prières discrètes, des éclats de vérité chuchotés dans le noir.

Le Coeur

Le cœur est l’espace où tout commence et où tout revient.
C’est la pulsation intérieure qui guide mes mots, le souffle qui donne vie aux émotions, la voix qui ose se montrer quand tout semble trop fragile pour être dit. C’est un lieu où la lumière et l’ombre coexistent, où chaque sentiment trouve sa place, où chaque battement devient un poème.

Dans cet univers, j’écris ce que l’on ressent, mais que l’on n’exprime pas toujours :

  • les élans d’amour, doux et intenses, qui nous font vibrer et nous relient aux autres,

  • les blessures affectives, ces douleurs qui marquent et transforment,

  • la solitude du cœur, qui s’impose même entouré, et qui nous rappelle notre humanité,

  • les joies fragiles, qui illuminent les instants simples, mais précieux,

  • les regrets et les peines, qui restent parfois silencieux, mais n’en sont pas moins puissants.

Dans Cœur, les émotions prennent une dimension plus vive : la tendresse se fait palpable, la douleur se ressent jusqu’au bout des doigts, la gratitude et l’élan vital deviennent lumineux. C’est un espace où l’on peut accueillir les sentiments, les regarder, les reconnaître, sans les juger.

Le cœur est une poésie des battements. Elle donne forme à la vérité intime, à ces élans que l’on porte souvent en silence. Elle explore les liens invisibles, les affections silencieuses, les moments de partage et de résonance, là où le don et la vulnérabilité se rencontrent.

J’y écris sur la force des émotions, sur ces instants où le cœur s’ouvre malgré la peur, où il se relève après les blessures, où il continue de battre avec intensité. Mais aussi sur la beauté fragile de la vie, sur ces instants où le cœur devient lumière, refuge et lien à la fois.

Cœur, c’est la parole de l’intime : parfois tendre, parfois brute, mais toujours vraie. C’est un espace où l’on peut se connecter pleinement à soi-même et aux autres, un lieu où les mots deviennent pulsations, prières et éclats de vie.